Deux questions vont être abordées qui seront soulevées dans la conférence. Il faut que la conférence de Samoa prenne plus en compte les océans. Les petits Etats insulaires ont des territoires qui vont plus loin que leur territoire terrestre. Une réunion de l'ONU avait souligné l'importance qu'apportent les PEID à ces questions. Les vulnérabilités sont réelles mais il faut voir ce que recèlent les océans. Les PEID devraient optimiser les ressources qui se trouvent dans les océans. Il faut une approche holistique de la vision des océans. Les stratégies en la matière doivent prendre en compte ces réalités. Une bonne économie dépendra de la santé des océans. Maurice propose que Samoa envisage l'établissement d'un objectif sur les océans qui soit distinct. La stratégie économique sur les océans doit porter sur une approche économique. Il faut trouver des sources de financements innovants.
Le comité préparatoire et le sommet et le programme développement post 2015 doivent faire repenser à la notion de partenariat. Il faut se tourner vers les partenariats entre les PEID. Un partenariat accru permettrait de faire ensemble ce qu'ils ne peuvent pas faire seuls. Un cadre règlementaire devrait permettre d'appliquer les mécanismes régionaux ce qui est difficile à faire dans le cadre de systèmes nationaux. Cela s'applique à l'utilisation de nouvelles technologies et pour les énergies renouvelables.
La conférence du Samoa doit être une enceinte de partenariat novateur entre les pays eux-mêmes. Les Etats doivent fixer leurs objectifs et travailler ensemble sur des craintes qu'ils partagent.07/10/24 à 12h30 GMT