Les défis en matière de développement sont connus : l'isolement géographique, les vulnérabilités particulières. Il faut se poser la question de remédier à ces problèmes et pourquoi le monde n'a pas progressé comme il aurait dû. Il faut un changement de paradigme dont la manière dont les PEID agissent. Les partenariats sont un point de départ efficace.

Ce travail doit être transparent tout comme les liens avec les institutions. Les ressources qui sont utilisées pour le développement durable doivent être données de manière transparente. Il faut améliorer le soutien aux PEID et développer le soutient aux institutions nationales. Les dirigeants sont engagés dans une utilisation durable des ressources. Elle rappelle que les océans sont essentiels pour la survie des petits Etats, dont leurs destinés est liée aux océans, il faut réglementer les ressources maritimes, la pêche et veiller à une utilisation durable des ressources. Pour ces raisons les pays insulaires du pacifique appellent à un ODD sur les océans. La hausse du niveau des mers  se fait de manière dramatique, elle menace la survie elle-même des populations. La communauté internationale doit prendre des mesures ambitieuses pour parvenir à un accord d'ici 2015.

 Les PEID ont l'occasion de se positionner en tant que chef de fil dans la lutte des changements climatiques. La communauté doit prendre des mesures ciblées notamment dans le solaire ou l'éolien. Le programme d'action de la Barbade ouvre la voie au développement durable mais ne dit pas comment évaluer le progrès. Il faut des données fiables pour les évaluer. Le document de Samoa doit s'inscrire dans le programme de 2015.