Hier, lors de la session plénière informelle, la présidente de la CCNUCC et secrétaire des affaires étrangères mexicaine, Patricia Espinosa Cantellano, a reconnu que l'arrivée des ministres à la COP 16 allait accélérer les négociations sur les stratégies à suivre dans la lutte contre le changement climatique, sans pour autant créer un sommet parallèle. Elle assure que les ministres ne préparent aucun document secret entre eux, et qu'ils seront à même de discuter non seulement avec les autres ministres, mais aussi avec les délégués.

Les délégués Vénézuéliens et Colombiens ont évoqué les inondations qui affectent leurs pays et ont demandé aux Parties d'accélérer les négociations et de se préparer à prendre des actions concrètes pour la prochaine conférence.

La déléguée de la Colombie a alerté qu'en l'absence d'un accord contraignant, le processus perdrait de sa légitimité. Selon elle, les États doivent abandonner les menaces de se retirer du protocole et des négociations.

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