Alcatel-Lucent publie son rapport sur le développement durable de l’année 2009
Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE : ALU) a publié son Rapport Développement Durable 2009 qui explique ce que fait l'entreprise pour agir de façon responsable et citoyenne. Ce rapport donne notamment des détails sur de nombreuses activités variées, parmi lesquelles :
* la formation du consortium external linkGreenTouch™ et le lancement du laboratoire d'énergies alternatives d'Alcatel-Lucent,
* une meilleure évaluation des fournisseurs de sa chaîne d'approvisionnement afin d'assurer un comportement éthique et éco-responsable,
* les programmes de bénévolat des salariés,
* la création d'un lieu de travail qui privilégie la diversité et offre des possibilités d'évolution aux 78 000 salariés de l'entreprise à travers le monde.
Dans son message d'introduction, le directeur général d'Alcatel-Lucent, Ben Verwaayen souligne que le développement durable est au coeur de la culture de l'entreprise et de son activité. Il déclare que l'ambition du Groupe dans ce domaine est d'être " le meilleur, rien de moins - un leader dans notre secteur pour toutes les questions liées au développement durable. Nos technologies jouent un rôle moteur. C'est pourquoi nous nous devons d'agir en entreprise citoyenne engagée et active au niveau mondial. "
En 2009, le Groupe a créé le Comité Stratégique du Développement Durable, présidé par Ben Verwaayen, directeur général d'Alcatel-Lucent, afin de promouvoir le dialogue avec les parties prenantes extérieures et bénéficier de leurs commentaires et suggestions sur les mesures à prendre pour être les meilleurs et atteindre les objectifs fixés en matière de développement durable. Le Comité est composé de six membres de l'équipe de direction d'Alcatel-Lucent et de deux experts extérieurs : Claude Fussler, conseiller spécial du Pacte Mondial des Nations Unies, et Eric Olson, directeur des services de conseil chez BSR (Business for Social Responsibility). Le Comité détermine les objectifs de développement durable du Groupe, assure le suivi des programmes et conseille la direction sur les problèmes et opportunités. Elle informe également le comité de direction sur les tendances émergentes du développement durable.
Le consortium GreenTouch a été créé en janvier 2010, après un long travail de préparation réalisé en 2009, tel que l'étude des Bell Labs qui a révélé que les réseaux de communication pouvaient être beaucoup plus efficaces au plan énergétique. Ce consortium, qui compte aujourd'hui 16 membres, s'est donc engagé à multiplier par 1000 l'efficacité énergétique des réseaux de communications par rapport à leur efficacité actuelle. Si cette initiative vise principalement à réduire l'empreinte carbone du secteur des télécommunications, elle revêt une importance d'autant plus grande que les technologies de communication sont un moteur d'autres secteurs qui cherchent aussi à réduire leur empreinte carbone. Le monde dépendra de plus en plus des réseaux qui consommeront donc de plus en plus d'énergie, sauf si leur conception fait l'objet d'une transformation radicale privilégiant l'efficacité énergétique.
L'entreprise mobilise tout son personnel pour réduire son empreinte carbone globale et elle agit sur plusieurs fronts pour développer des réseaux et un fonctionnement plus éco-responsables. Ses efforts commencent à porter leurs fruits. Alcatel-Lucent a réduit les émissions de CO2 de ses établissements de près de 12 000 tonnes entre 2007 et 2009. L'entreprise a ainsi dépassé ses objectifs de réduction d'émissions de CO2 annuelle de 10 % par rapport à leur niveau de 2007 d'ici fin 2010, ce qui lui donne davantage d'élan pour atteindre son objectif ultime qui est de réduire de moitié son empreinte carbone totale d'ici 2020. Elle a mis en oeuvre un solide programme de reprise, de recyclage et de réutilisation des équipements réseau qui lui a permis de traiter quelque 636 tonnes d'équipements en 2009. En juin, Alcatel-Lucent a lancé le premier programme et site pilote d'énergies alternatives dédié aux télécommunications, à Villarceaux (France). Ce programme a reçu en France le Prix de la croissance verte et, en mars de cette année, il a été lauréat du concours 2010 " Énergie durable pour l'Europe " de la Commission européenne, dans la catégorie " engagements volontaires pour une transformation du marché ".
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