Extrait de la lettre :
Après l'adoption d'une résolution reconnaissant le droit fondamental à l'eau et à l'assainissement par l'Assemblée générale des Nations Unies en juillet 2010 et d'une autre résolution sur le même sujet par le Conseil des droits de l'homme en septembre 2010, il appartient maintenant à chaque Etat de concrétiser ce droit universel.
Mais cette mise en oeuvre effective soulève de multiples interrogations.
C'est avec beaucoup d'habilité qu'elles ont été abordées lors de la session organisée le mardi 13 mars par l'agence suisse de coopération au développement, Aquafed, la Banque Mondiale et Eau Vive, en présence notamment de Catarina de Albuquerque, expert indépendante auprès des Nations Unies sur cette question.
Après la présentation par un groupe de représentants multipartite de différents exemples de réponses juridiques et d'expériences concrètes pour la mise en oeuvre du droit humain à l'eau, un débat s'est instauré sur la question du suivi et de la mise en place d'objectifs-cibles appropriés pour l'après-2015.
Enfin, la session s'est terminée par le témoignage d'usagers de l'eau ayant fait l'expérience de ce que peut constituer un accès insuffisant à l'eau et à l'assainissement.
[FME6]
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