Le secrétaire s'exprime au nom des 9 agences intergouvernementales de la région Pacifique. De longue date le forum a participé aux documents finaux comme le document de la Barbade et de Maurice. Sur la base de fondement solide, il faut être plus ambitieux.
Le document final de Samoa doit être le reflet de l'urgence des problèmes mondiaux qui menacent les moyens de subsistance. Les changements climatiques exposent les hommes à de graves risques multiples. Il est nécessaire d'apporter une réaction mondiale en terme de justice. Les océans accueillent toutes les communautés insulaires, c'est le moteur du développement. L'inquiétude est grande pour la gestion des océans et les mers. En effet, les océans, les mers, les îles doivent s'inscrire dans un objectif distinct dans le programme post-2015. Il faut trouver des solutions efficaces et en associant que la société civile, en optimisant les offres qui sont présentes. La conférence de Samoa devrait permettre de mettre en place des dispositifs d'évaluation et de suivi.
Tous les partenaires au développement doivent compléter les efforts des PIED, en établissant des codes de suivi. Cela permettrait d'orienter les efforts et évaluer les résultats obtenus. Il serait judicieux d'affiner l'approche adoptée dans le cadre de la Barbade, qui tenait compte de chaque problème avec une déclaration, par pays. La meilleure façon de garantir le développement durable, est le partenariat durable.
Le forum précise qu'il y a un code régional pacifique établi il y a 60 ans permettant d'intégrer la coopération régionale qui est en cours d'examen pour s'adapter aux réalités régionales. Toutes les organisations régionales dans le cadre de la conférence continueront d'apporter leur aide.
22/10/24 à 11h20 GMT