Des experts du Centre pour la protection des tigres de l’Amour surveillent de près Vladik, le tigre de cette espèce relâché dans la forêt russe suite à sa capture en milieu urbain. Vladik avait fait l’objet d’un intérêt médiatique international après avoir été aperçu déambulant dans les rues de Vladivostok, une ville de l’Extrême-Orient russe.
Ce fauve mâle de trois ans, qui pèse près de 140 kilos, a été baptisé Vladik du nom de la ville où il s’était égaré. Il porte aujourd’hui un collier équipé d’un GPS qui permet aux experts de la vie sauvage de suivre ses déplacements dans son nouvel habitat, le Parc national russe de Bikin, choisi en raison de ses forêts denses en lieu reculé.
Les soins que Vladik a reçus et son retour à l’état sauvage illustrent les efforts mondiaux qui sont déployés pour protéger le tigre de l’Amour, plus communément appelé tigre de Sibérie.
Des organisations américaines œuvrent de concert avec des instituts de recherche, des législateurs et des communautés russes pour renforcer les lois contre le braconnage, éliminer l’abattage illicite des arbres, accroître les populations des différentes espèces de proies et sensibiliser le public au sort du tigre.
Aujourd’hui, leurs travaux commencent à porter des fruits. Après des décennies de projets de conservation et de lutte contre le braconnage, on compte actuellement 540 tigres de l’Amour dans l’Extrême-Orient russe, soit la plus importante population du monde dans une seule aire de répartition...
Lire la suite de cet article publié sur le site ShareAmerica
Source : ShareAmerica
Lire la suite de cet article publié sur le site ShareAmerica (2836 hits)
15/10/24 à 07h39 GMT