Parce qu'il nous faut résoudre tous ensemble les problèmes qui nous touchent tous. Un pays aux dimensions territoriales modestes comme l'Andorre comprend parfaitement la nécessité de penser globalement et d'agir localement. Parce qu'en effet, le problème global du changement climatique nous touche de manière particulièrement sensible : notre pays vit -en grande partie- du tourisme de neige et de montagne ; or, les Pyrénées accusent déjà une hausse de température de l'ordre de 0,2 degrés centigrades par décennie, et une baisse des précipitations d'au moins 45 millimètres annuels par décennie.

Et parce que nous savons que nos actions locales ne serviront à rien, si elles ne s'inscrivent pas dans un plan d'actions global. Les régions de montagne sont particulièrement sensibles au réchauffement global, car les écosystèmes de la montagne sont des équilibres extrêmement délicats. C'est pourquoi l'Andorre a été l'un des premiers pays à apporter sa contribution nationale à cette
conférence.

 [CdP21-climat]