Lotte Rutter, activiste à Greenpeace, réfléchit sur le 100e anniversaire de la Journée internationale de la Femme et sur le rôle vital joué par les femmes dans l'activisme d'aujourd'hui.
Cette année, centième année de la Journée International de la Femme, c'était avec tristesse que j'ai constaté que Leona Lewis avait été votée la " femme la plus influente à vivre ou à travailler à Londres dans le dernier siècle ". Sérieusement? En lisant ceci dans le Métro, je me suis dit qu'Emmeline Pankhurst devait s'être retournée dans sa tombe!
Si j'avais à me décrire en un mot, ce serait " activiste ".
Mes activités comme activiste ont commencé à Greenpeace. J'étais de moins en moins intéressée par mes études en économie et de plus en plus inquiète par l'état du monde, les injustices et les catastrophes qui dévastent la planète. Et, bien sûr, je ne pouvais pas faire comme les autres étudiants qui, quand on leur demandait ce qu'ils voulaient faire après l'université, répondaient simplement " être riches ".
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07/10/24 à 12h30 GMT