Dans une récente chronique, Louis-Gilles Francoeur se dit " bouleversé " par le constat de David Suzuki à l'effet que " l'environnementalisme a échoué ". Depuis des années, la multiplication des crises semble rendre néanmoins manifeste ce constat, selon une approche de gestion par les résultats. On peut penser, par exemple, aux échecs des conférences de Copenhague, en 2009, et de Durban, en 2011 face au rapport dramatique du GIEC de 2007 sur les perspectives du réchauffement planétaire. Jeff Rubin, ancien économiste en chef de la banque CIBC World Markets, vient de mettre tout cela sous un autre éclairage, dans son récent livre The End of Growth.
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Source: GaïaPresse
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