La restauration écologique du site du barrage Daniel-Johnson donne raison au professeur J. André Fortin.
En 1973, Hydro-Québec faisait appel au professeur J. André Fortin, du Département des sciences du bois et de la forêt, pour trouver une façon efficace et peu coûteuse de restaurer le territoire situé au pied du barrage Daniel-Johnson. Cinq ans après l'inauguration de l'ouvrage, les alentours avaient encore des allures lunaires. Le site à reverdir n'avait rien d'un terreau fertile : il était exclusivement constitué de roches provenant des détritus du concasseur utilisé pour la fabrication du béton.
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Source: Le Fil
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