Source: InfOGM journal No115, mars - avril 2012
le Protocole de Nagoya [1] sur la lutte contre la bio-piraterie au niveau international, grâce à un système de partage des avantages, était ouvert à la signature des États jusqu'au 1er février 2012. Quel est le contenu de ce texte et est-il vraiment efficace pour la protection des ressources génétiques ainsi que des savoirs traditionnels associés ?
la biodiversité sauvage (non encore détruite par l'Homme) de la planète présente des enjeux considérables. Utilisées aujourd'hui, et très certainement demain, par la médecine, l'agriculture, les biotechnologies ou encore dans les cosmétiques, ces ressources sont l'objet de convoitises et de pillage du fait du potentiel financier qu'elles représentent. bien souvent, ce sont des industries du Nord qui se servent dans les ressources du Sud, au mépris des autorités, des communautés locales et des peuples autochtones. Interpellée sur les dangers de ces pratiques pour la pérennité de la biodiversité, la communauté internationale s'est (...) source de la dépêche (672 hits)
[1] Le texte du Protocole de Nagoya (pdf) (508 hits)
[3] La survie du peuple quechua de Sarayaku est menacée par des compagnies pétrolières qui exploitent les concessions accordées par l?Equateur. (1084 hits)
[4] Site internet collectif pour une alternative à la biopiraterie : (620 hits)
09/08/24 à 08h48 GMT