Depuis le premier site marin a inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1982, le réseau a grandi pour aujourd’hui englober 49 sites dans 37 pays qui s’étendent des tropiques aux pôles.
Résultats:
- Suite à l'annonce que 33% du parc marin des Galapagos a été classé en zone de non prélèvement, les gestionnaires de la Grande Barrière de corail en Australie (qui a fermé un pourcentage similaire de ses eaux à la pêche en 2004) et le Parc national des Galapagos se sont engagés pour une collaboration plus étroite pour renforcer le respect et la surveillance dans leurs zones de non prélèvement respectives.
- Les gestionnaires des Galapagos, du Coiba National Park, de Cocos Island, de Malpelo Fauna and Flora et du Gulf of California ont signé un accord historique, la «Carta de Punta Suarez» pour signifier leur engagement à travailler ensemble pour réduire la pêche illégale et non réglementée dans leurs sites.
- Les idées et les nouveaux partenariats qui ont découlé de cette réunion informera le travail du réseau marin du patrimoine mondial au cours des trois prochaines années, jetant les bases d'un avenir plus durable pour ces joyaux de l'océan;
- Une stratégie changement climatique est en cours de développement pour aider les sites avec leurs plans d’évaluation et d’adaptation à la vulnérabilité climatique et des discussions pour un éventuel soutien financier pour ce travail ont été lancées avec plusieurs partenaires potentiels...
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Source : Réseau des gestionnaires d'aires marines protégées en Méditerranée