4.2. Une conscience universelle pour le bien commun de l’humanité ( Quatrième partie suite et fin)
La crise environnementale a beau être plus présente dans les médias qu’il en était il y a de cela quelques années en arrière, il continue malgré cela de souffrir d’un manque de visibilité qu’accompagne une absence de volonté politique. L’attention du public n’est captée qu’à la marge sur une courte durée : on entend, on déplore et on passe à autre chose très rapidement.
Le sujet semble moins urgent que d’autres car il souffre de la concurrence de défis en apparence plus pressants tels que : la lutte contre la pauvreté et les inégalités, la crise des refugiés, les conflits, les guerres interethniques...
Comment venir à bout d'un si grand laxisme politique ?
S’attaquer à la question est vitale si l’on espère être capable de s’adapter au monde qui s’en vient. La tâche est d’autant plus impérative qu’impérieuse que l’onde de choc qui accompagnera cette crise qui, sans l’ombre d’aucun doute, risquerait de mettre une pression énorme sur nos sociétés, institutions et, plus généralement, sur notre capacité à coopérer les uns avec les autres.
Mettre en avant de débats théoriques n’est pas ce qui y a de mauvais, mais user d’une unanimité sur les préoccupations de la planète serait encore plus porteur de grands changements pour l’avenir de la planète.
Jusqu’ici, plusieurs conventions ont été au cœur de ce débat mais témoignent-t-elles pour autant d’une volonté indéfectible ?
Là encore, tout le monde doit témoigner d'un soutient fidèle dans ce processus. Nous devons prendre conscience que nous avons tous un rôle a joué pour protéger l’environnement, à ne pas le dégrader ou lui porter préjudice.
Cette protection de l’environnement doit comprendre des mesures à prendre en compte pour limiter et abroger cette loi portant attente à l’environnement par les activités de l’homme qui ont un impact direct et négatif sur l’environnement (desseins négatifs des organisations ou industries sur l’environnement...)
Car au-delà de la simple conservation de la nature, il s’agit tout aussi de comprendre le fonctionnement systémique, et éventuellement planétaire de l’environnement ; d’identifier les actions humaines qui l’endommagent au point de porter préjudice aux générations actuelles ou futures ; et de mettre en place unanimement des actions de correction.
Toutes ces phases d’intervention doivent être des alertes sur l’urgence de trouver un nouveau modèle pour que le développement économique se fasse dans le respect de la nature et des générations futures. Car cette émergence reste fragile et délicate aussi longtemps que cette dernière continuera inlassablement à dégrader de plus en plus l’environnement.
Chaque génération devrait avoir à cœur de laisser derrière soi un monde tout aussi riche et productif que celui dont elle a hérité.
Prendre connaissance qu’aucun développement ne doit s’exercer au détriment de celui des autres sociétés ou générations.
Il est donc de notre responsabilité de protéger, de défendre et de veiller méticuleusement sur le patrimoine mondial de l’Humanité qui constitue au fait un héritage sacré à protéger afin de le transmettre à la génération à venir, sans dommage bien que la majeure partie de dégâts soient déjà consommés.
Signée : LUAKA Sarah.
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17/10/24 à 09h35 GMT