Lors de la réunion, du 20 septembre à New York, sur le rapport de la Commission sur la dimension sociale de la mondialisation le président Jacques Chirac a affirmé que la question sociale se trouve désormais au premier plan de la mondialisation.

Le Président de la République s'est rendu, ce lundi 20 septembre, à New York pour une journée aux Nations Unies consacrée à la dimension sociale de la mondialisation ainsi qu'au développement et à la lutte contre la pauvreté dans le monde.
Dans la matinée, le Président de la République a participé à une réunion organisée par l'Organisation internationale du travail (OIT), autour d'un rapport sur la "dimension sociale de la mondialisation". Avant d'assister à une conférence organisée l'après-midi à l'invitation du président du Brésil, et à laquelle ont participé une cinquantaine de chefs d'Etat et de gouvernement, le Chef de l'Etat a eu un déjeuner de travail avec M.Kofi Annan, secrétaire général des Nations Unies.
Ces deux conférences constituent une étape politique importante dans la préparation de l'Assemblée Générale de 2005, qui fera un premier bilan de la mise oeuvre des objectifs de lutte contre la pauvreté dans le monde, fixés par la "déclaration du Millénaire", adoptée en 2000 par l'Onu.
L'un des buts des deux réunions internationales du 20 septembre était de montrer qu'il est possible de trouver des moyens supplémentaires pour le développement. C'est non seulement un devoir de solidarité mais un acte de raison et de paix.