Le 23 septembre 2014, se tenait à New York, un sommet sur le climat à la tribune des Nations Unies. L’objectif était de relever l’urgence de l’heure en termes de lutte contre les effets néfastes du changement climatique. Plus de 120 chefs d’Etats étaient présents pour rappeler les actions à entreprendre afin de ne pas sombrer dans le chaos environnemental.

A la veille de ce sommet, soit le 21 septembre, une mobilisation telle qu’on n’en a jamais connue jusqu’à présent a eu lieu à New York et dans plus de 2000 autres endroits du monde. Des centaines de milliers de personnes dans le monde –plus de 300000 rien qu’à New York- ont marché pour manifester leur inquiétude face au réchauffement climatique mais aussi leur espoir de voir le monde connaître un meilleur avenir grâce aux énergies renouvelables. Ban Ki-moon, qui faisait aussi partie des manifestants, s’est ainsi exprimé : «Nous n'avons pas de temps à perdre. C'est maintenant qu'il faut agir contre le changement climatique ou nous allons le payer encore plus cher. Je suis le secrétaire général de tous ces gens qui marchent».

Une belle démonstration, s’il en fallait, de la prise de conscience collective du problème climatique et du souhait de voir la situation climatique mondiale s’améliorer.