Selon des experts, les réseaux criminels échangent diverses contrebandes sur les mêmes circuits commerciaux.
Par Lea Terhune
Rédactrice
Washington - M. Peter Younger, le chef du service INTERPOL chargé de la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages, fait partie d'un ensemble d'agents entièrement consacrés à la répression du trafic des espèces sauvages. Ce secteur d'activité criminelle représente un marché énorme qui partage ses réseaux et ses routes clandestines avec les trafiquants de drogues, d'armes à feu et d'êtres humains.
" Il s'agit d'un problème de criminalité organisée très sérieux et répandu à travers le monde, " a affirmé M. Younger, qui travaille à Lyon (France), où se trouve le siège de l'INTERPOL.
L'introduction clandestine des espèces sauvages alimente des réseaux de distribution criminelle à multiples usages qui donnent naissance à ce que M. Younger qualifie de " crimes périphériques ", tels que la corruption des autorités, la falsification de documents, l'intimidation et le meurtre...
Source : Bureau des programmes d'information internationale du département d'Etat. Site Internet : http://www.america.gov/fr/
Lire l'article (968 hits)
01/10/24 à 07h35 GMT