Depuis des temps, l'Homme, pour survivre, n'a cessé de faire recours à la nature. Toute chose qui n'est pas sans conséquence pour l'humanité ; en témoignent les sécheresses, les inondations, les changements climatiques... Mesurant l'ampleur du phénomène pour la génération actuelle et celle à venir, si rien n'est fait d'ici- là, nous allons assister inexorablement à la destruction du couvert végétal. Or, sans couvert végétal, plus de vie humaine. Pendant 48 heures de travaux (du 1er au 2 mars 2013), les élus d'un groupe parlementaire du Burkina ont eu à apprécier l'état de dégradation de l'environnement à travers le déboisement massif des terres, à appréhender la problématique de l'approvisionnement de la ville de Ouagadougou en bois de chauffe, à apprécier la participation des populations à la gestion de l'environnement, à analyser la problématique de l'agro business sur la paupérisation paysanne, à s'imprégner de manière générale des difficultés rencontrées et à proposer des perspectives pour une meilleure gestion de l'environnement.
La première journée, les députés ont eu droit à deux
communications...
Source : Les éditions le pays
09/08/24 à 08h48 GMT