En 2010, la Grèce apparaissait aux yeux des Européen-ne-s comme la source de tous les malheurs de cette économie de la dette qui régit l'économie mondiale. La Grèce était coupable d'avoir laissé exploser sa dette publique, là était bien le discours dominant. La sentence fut la mise sous tutelle de la Grèce par la Troïka organisme non élu et créé de toute pièce pour orchestrer les politiques d’austérité. Les femmes ont été les premières victimes des mesures d'austérité.
Les plans de restructuration ou mémoranda n’ont eu de cesse de démanteler la structure sociale de la société grecque, prenant pour cibles les services publics, le système de santé, l’environnement, les régimes de retraites, et prônant une privatisation sans merci de tous les secteurs de la société et même de ses lieux publics...
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