Le Ministère des Affaires Etrangères (France) vient de lancer une étude portant sur les formes alternatives actuelles du tourisme. Le terme de “responsable” regroupe les activités touristiques contributrices au développement local, si possible durable, des territoires qu’elles concernent . On regroupe entre autres dans cette catégorie les termes d’éthique, équitable, durable, solidaire, diffus, communautaire, rural et “-éco”.
La question posée est simple : en quoi la forme de tourisme “responsable” considérée contribue-telle au développement local, voire au développement durable local ? Quels sont les impacts constatés à tous niveaux ? Quelles sont les conditions pour que cette forme de tourisme existe et s’amplifie ?
Mais l’entrée peut-être “territoire” et la question est : de quelle manière l’activité touristique est-elle intégrée lorsque le territoire s’engage dans le développement durable ? Quelles en sont les conséquences ?
La méthodologie, pour cette étude, est de balayer l’existant - écrits, internet - pour dégager les
informations utiles (contextuelle, génériques) puis dessiner une typologie des acteurs et des formes
d’actions du tourisme responsable.
L’objet de cette information circulante est d’une part de vous signaler l’existence de cette étude (rapport fin août) et de vous remercier de signaler d’éventuels cas probants, cas d’école, cas d’expérience et autres actions de terrain dont il serait regrettable de ne pas mentionner le contenu et/ou d’en agréger les “leçons de l’expérience”.
Alain Laurent Chargé de l’étude Groupe T2D2 “Tourisme, Territoire et Développement Durable”
Secrétaire général de l’association SAOLA