Quand les actes sont bien plus que les mots...
Depuis de nombreuses années, ADIA est connu et reconnu comme « agitateur social ». Ce « label » se traduit au quotidien par de nombreuses actions sur le terrain. C’est dans cette optique d’acteur socialement responsable qu’ADIA a décidé d’adhérer en 2004 au Global Compact des Nations Unies1. Par cette adhésion, ADIA s’engage à promouvoir et respecter 10 principes fondamentaux relatifs aux droits de l’Homme, aux normes de travail, à l’environnement et à la lutte contre la corruption. Afin de matérialiser ses principales actions 2004 dans le cadre de la RSE, l’entreprise a souhaité publier son premier rapport2 : illustrations chiffrées et témoignages, engagements pris et progrès à accomplir pour l’avenir.

Pour Jean-Louis Joly, Directeur général, « ce premier rapport RSE cristallise de façon plus explicite l’ensemble de nos actions "socialement responsables". Il doit constituer un témoignage supplémentaire pour démontrer que l’économique, le social et l’environnemental ne sont pas contradictoires au sein d’une entreprise. »
ADIA n’a pas attendu de réaliser ce rapport pour s’engager dans la durée sur un équilibre gagnant dans lequel clients comme salariés intérimaires se retrouvent. Mais ce rapport permet aussi de s’engager plus en avant dans le développement durable : formaliser les actions, les résultats et donc identifier les forces mais aussi les faiblesses pour y remédier dans l’avenir.

Pour ce faire, le rapport RSE d’ADIA s’est organisé autour des différents parties prenantes avec lesquels l’entreprise est en relation : les salariés permanents, les salariés intérimaires, les clients, les actionnaires, les fournisseurs, les instances représentatives du personnel, les associations – syndicat professionnel – fonds paritaires, le gouvernement, les institutionnels et la « société civile ». Pour chaque public, ADIA s’est assigné des objectifs en dégageant les critères d’évaluation les plus significatifs.