Greenpeace estime que c'est "une étape qui a été franchie ces deux derniers jours ...
Mais force est de constater que l'on est quand même loin du changement
de société annoncé.
Ces discussions ont esquissé une méthode de concertation intéressante
sur certaines questions (et notamment sur l'organisation future du
débat sur l'énergie) . Mais le format ne permet pas l'échange, car avec
le nombre d'acteurs présents, le temps de parole est réduit. Chaque
représentant prend donc la parole pour avancer ses pions et campe sur
ses positions. Le résultat se révèle donc être souvent une liste de
doléances...
Le débat sur l'énergie représente le véritable enjeu et permettra
peut-être la place d'une réelle concertation, d'un débat transparent,
démocratique, décentralisé."