Cet été plusieurs festivals consacrés à la lutte contre le réchauffement climatique ont eu lieu en France. En Alsace, du 31 juillet au 11 août, de 800 à 1 000 personnes se sont réunies pour organiser les modes d’action des mobilisations de l’année prochaine. À Hervilliers, dans l a Meuse, du 9 août au 11 août, a eu lieu le festival des Bure’lesques pour lutter contre la poubelle nucléaire autour de débats, spectacles et projections. Puis à l’occasion du G7, un contre-sommet a été planifié par une multitude d’acteurs altermondialistes. Les modes d’action ont été discutés et approuvés collectivement sur la plateforme créée à ce propos : le G7 EZ. 

N’oublions pas aussi les « Utopies Festivales » en Bourgogne, qui alliaient musique, danse et réflexion autour de l’écologie. L’écofestival « l’Arbre qui marche » en Anjou a été l’occasion de participer à différents ateliers, animations et concerts, le tout alcool free. On peut également mentionner le festival « Sans transition ? » d’Angers, qui mêlait art et réflexion sans retenue et sans censure. 

Outre les festivals de musique, art et/ou spectacles, un festival de photographie a été organisé dans le Morbihan intitulé « Peuple et Nature de La Gacilly ». Le focus était porté sur les pays d’Europe de l’Est ainsi que sur la protection de l’environnement. Des photos sur l’Arctique, les océans et le tourisme climatique y ont été exposés. Enfin, le festival du Roc-Castel du 25 juillet au 30 juillet a réuni dans l’Hérault, de nombreux voyageurs singuliers et aventuriers « pour qui le trajet compte autant que la destination ». Ce festival fait l’éloge au voyage lent. 

Ces types de festivals ont la particularité d’attirer des jeunes autour d’un moment de rencontre ludique mais aussi éducatif à propos des grandes questions sur les enjeux climatiques d’aujourd’hui. 

[MOGED] 

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