Quelles stratégies des iles face au changement climatique et a la perte de biodiversité. "
Une première pour l'île de la Réunion et les entités voisines qui a réuni les représentants des 7 Régions Ultrapériphériques de l' Union Européenne (UE) et de 21 Pays et Territoires d' Outre - Mer, ainsi que des délégués des Etats membres de l'UE, des institutions européennes, de certains Petits Etats Insulaires en Développement, d'autres organisations régionales et internationales y compris la société civile et le secteur privé, au total plus de 500 participants. Un événement du calendrier officiel de la Présidence française de l' UE.
L'écosystème des îles est la maison des milliers de biodiversité du monde, certains étant les plus grands sites de reproduction pour des tortues de mer, d'autres avec hauts niveaux d'endémismes. A titre d'exemples, l'île d'Ascension avec le deuxième plus grand site de reproduction de la tortue verte dans l'Océan Atlantique, île de Gough ayant les plus grandes colonies d'oiseaux marin, les récifs de Chagos dans l'Océan Indien sont les récifs les plus préservés au monde et seule la Guyane Française enferme plus que la moitié d'espèces d'animaux et de plantes du monde entier y compris ses 83 000 km2 de forêt amazonienne. En fait au moment de l'animation de cette conférence, le lagon de La Nouvelle Calédonie a été officiellement déclaré Patrimoine Mondiale par l'UNESCO. La conférence visait à sensibiliser le monde sur le patrimoine unique de ces pays et îles, les menaces qui s'exercent sur ce patrimoine et les opportunités qu'ils représentent pour inventer de futures solutions pour un environnement soutenable. En même temps c'était à démontrer l'ampleur avec laquelle ces pays sont et seront exposés face aux effets du changement climatique, ce qui les qualifie pour l'appui européen. Cette conférence visait également à faire bouger les choses avec la présence des acteurs clés : décideurs politiques aux niveaux européens, experts et O.N.G.s nationaux, régionaux et locaux. Un plan d'action devait être défini par l'intermédiaire de l'union européenne (UE) concernant la question de l'adaptation du changement climatique, des politiques énergétiques exemplaires et de la gestion soutenable et la protection de la biodiversité ; ainsi pour renforcer l'efficacité des actions et la coopération entre l'UE et les RUP et les PTOM Dans ce contexte, toutes régions méritent une attention égale puisqu'elles fournissent la richesse de la planète dans leur diversité écologique comprenant les pays voisins ayant coopération directe avec l'UE, Pays ACP, petites îles insulaires. Une semaine de présentations plénières, discussions, questions - réponses, problématiques,des ateliers parallèles choisi du point de vue d'intérêt et bénéfices. Nature Seychelles, ONG régionale a été essentiellement concernée par ceux adressant les besoins, les rôles et les défis des O.N.G.s, quelques présentations sur des politiques côtières et maritimes et ceux au sujet des mécanismes financiers existants. Généralement la conférence a crée un point de repère, de contact, une plateforme de partage d'information, d'expériences et de bonne pratiques dans la conservation et la gestion de ressource naturelle, la surveillance, la résilience d'écosystème, les stratégies d'éducation, les mécanismes de financement et les politiques existantes particulièrement sur l'énergie soutenable, protection de zone côtière et ressources marines... À noter cependant que tous les mécanismes financiers ont encouragé les initiatives de gestion en créant davantage des réseaux régionaux harmonisant des efforts de façon collective. Les stratégies d'adaptations face au changement climatique étaient fort remarquables d' autant qu'ils font partie de notre réalité, vu notre vulnérabilité à ses effets. Pour réaliser ces défis, on cite d'une part, le rôle des O.N.G. comme essentielle qui s'appuient sur l'intégration avancée des stratégie d'éducation de façon participative apportant de la cohésion des efforts globaux pour protéger la planète, la maison dont nous partageons aussi avec des milliers d'autres forme de biodiversité. Le gouvernement, d'autre part, est de fournir des bénéfices économiques et financiers et de soutenir la recherche et l'éducation sur les effets du changement climatique sur l'être humain et sur la biodiversité. Des mesures collectives pour un développement durable est nécessaire pour sauvegarder notre biodiversité endémique y compris la bonne gestion et la protection des marécages et l'eau fraîche, nos récifs coralliens et la vie marine, les secteurs de palétuvier, la forêt.
Selon Jean - Philippe Palasi, coordinateur de l'UICN pour l'outre - mer, " rien n'existe aujourd'hui comme état des lieux de la biodiversité ultramarine, ce qui montre bien la nécessite de mobiliser ce réseaux à la conférence. Justement une synthèse scientifique des impacts du changement climatiques à ce sujet, est actuellement coordonnée par l'UICN et l'ONERC sera publiée pendant la conférence. "
En conclusion, on recueille de cette expérience riche que les humains peuvent et doivent s'adapter bien que nous ne prévoyions pas les risques, surtout nous les petites îles vulnérables qui dépendent fortement des ressources importées. Le changement climatique est bien réel, beaucoup d'espèces ont disparu autour de nous. Par conséquent nous devons commuter notre style de vie à une qui est plus soutenable et a se préparer a faire face aux menaces et dommages potentiels. N'attendons pas une autre catastrophe naturelle pour se rendre compte de notre réelle vulnérabilité!
04/09/24 à 08h48 GMT