Cette décision a mobilisé les groupes écologistes locaux qui ont vivement protesté. Les communautés indiennes d'Amazonie en revanche sont partagées. La décision en tous les cas a surpris, le président équatorien, Rafael Correa, ayant défendu jusqu'aux Nations unies depuis 2006 la préservation à 100% de la zone Yasuni-ITT. Les origines de ce débat sont présentées par Jean-Jacques Kourliandsky, dans un article intitulé « Qui veut la « peau » du principe de précaution ? » et publié sur le Huffingtonpost.
Pour en savoir plus (722 hits)
Pour en savoir plus (691 hits)
04/09/24 à 08h48 GMT