Fidèle aux prescriptions de la COP 21 en 2015 à Paris (France) axées sur la lutte contre le réchauffement climatique, la maire Célestine Ketcha Courtès, ne ménage aucun effort pour implémenter la politique d’économie d’énergie et d’usage des sources d’énergie renouvelable (EnR) dans son unité de commandement.
La présidente du Réseau des femmes élues locales d’Afriques (REFELA) vient ainsi de doter la principale infrastructure hospitalière de la ville chef-lieu du département du Ndé (région de l’Ouest) d’une centrale solaire photovoltaïque. Une source d’énergie dite propre.
Répondant aux normes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), cet équipement de 20,16 KWc (kilowatts crête) a la capacité d’alimenter l’hôpital de district de Bangangté avec 237 lampes et tubes LED (diode électroluminescente). Une grande fierté pour les personnes malades qui viendront dorénavant solliciter des soins de santé.
En effet, ce projet, Femmes et énergie renouvelable dans la commune de Bangangté (ENERBA), fruit de la coopération internationale décentralisée (AIMF, ADEME et Fondation Véolia) est estimé à 415 690 euros (environ 273 millions Fcfa).
En rappel, concernant l’éclairage public, il y a quelques semaines, 81 lampadaires solaires (25 unidirectionnels et 56 bidirectionnels) ont été installés à travers la commune de Bangangté. Et un panneau de labellisation a été placé à l’axe principal de la ville.
Voilà une réalisation de plus visant à l’amélioration des conditions de vie des populations à mettre à l’actif de la dynamique présidente du Réseau des femmes élues locales d’Afrique, antenne du Cameroun (REFELA-Cam) et première magistrate de la ville onusienne, Mme Courtès.
04/09/24 à 08h48 GMT