À l'occasion de la Semaine mondiale de l'eau à Stockholm, la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification (CNULCD) a coordonné une discussion de groupe en collaboration avec l'Institut allemand de développement (DIE), le Fonds international de développement agricole (FIDA) et le Stockholm International Water Institute (SIWI). L'événement, qui a eu lieu le 1er septembre, a réuni environ 50 participants.
La présentation de la CNULCD a porté sur l'importance de tirer parti de la sécheresse comme un « connecteur » et comme une « opportunité » pour s’atteler aux synergies et pour faire des compromis. Il a été souligné que, dans le but de réduire la vulnérabilité des sociétés aux risques de sécheresse et de conflits, il faut créer un mécanisme qui relie la sécheresse, la sécurité alimentaire, le climat, l'eau, les migrations et les conflits. Cela nécessitera la participation des différents acteurs représentant différents volets de gouvernements, la société civile, des organisations internationales et, surtout, les personnes touchées elles-mêmes. La nécessité d'établir une cohérence des politiques, de renforcer les capacités et d'employer une approche multisectorielle, a également été soulignée.
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