Par Alix Ruhlmann, étudiante à la maîtrise en gestion de l’environnement à l’Université de Sherbrooke et membre de la délégation d’ENvironnement JEUnesse à la CdP-23 à Bonn
Le 16 novembre dernier, l’ambiance était à la fête à Bonn. Suite à une présentation du Partenariat pour l’Océan et de ses objectifs, plusieurs représentants d’États et d’organisations non-étatiques ont apposé leurs signatures sur des documents symboliques. L’assemblée a par la suite traversé la moitié de la zone de Bonn pour prendre possession du pavillon des îles Fidji et y lancer une fête dont les échos ont retenti jusqu’au Royaume-Uni – ou du moins, jusqu’à leur pavillon !
Présidée par les îles Fidji, la 23e conférence sur les changements climatiques s’était affichée dès le départ comme une conférence qui allait laisser une plus grande place aux états insulaires et aux océans.
Le lancement de la Plateforme pour l’Océan est donc un élément clé dans cette volonté d’augmenter la visibilité des océans. Elle devrait ainsi permettre de ramener les océans – leur protection et leur rôle clé dans les mécanismes climatiques – à l’avant plan des négociations et des actions.
L'initiative jeunesse de lutte contre les changements climatiques a pour objectif de sensibiliser les jeunes francophones aux changements climatiques. Elle permet également de faire connaître les actions et l’engagement de la jeunesse francophone pour lutter contre les changements climatiques sous la forme d’une série d’articles.
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