L'INCLUSION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DES JEUNES
Il est sans contredit que l'Afrique est un continent potentiellement et extrêmement riche. Cependant, le taux du chômage demeure toujours le même. Les jeunes venant fraîchement des Universités et des Instituts ont du mal à trouver, sans coup ferir, de l'emploi.
Cette déception que subissent ces jeunes Universitaires découragent les plus ambitieux, qui veulent continuer leurs initiatives, et elle les pousse à entreprendre, mieux à créer leurs petites et moyennes entreprises dans l'optique de subvenir de prime abord à leurs besoins.
En effet, vu que l'engagement dans des sociétés publiques et privées est devenu une problématique, ainsi les jeunes Universitaires font de tout bois pour relever les défis du monde actuel.
Pour entreprendre, il faut avoir l'intelligence du marché, mais aussi des moyens financiers, matermaté, et humains. Cet esprit d'entrepreneuriat et de créativité allumera sans doute le trésor public, et amènera le monde (pays) à un bon départ.
Plus les jeunes créent des petites et moyennes entreprises, plus l'État devient huppe; moins ils entreprennent des projets, moins ils deviennent pauvres. Créer sa petite entreprise est une façon de participer à la vie économique de son propre pays.
Les jeunes intrépides vont plus loin à la quête du bien-être en empruntant de l'argent dans des banques pour réaliser leurs rêves. L'économie du monde actuel est nourrie de l'apport des jeunes entrepreneurs audacieux.
Il appert qu'une grande partie du marché africain est inexploité suite à la quasi-absence des hommes et femmes susceptibles, capables d'initier des projets du développement continental et mondial.
l'Afrique a besoin des jeunes courageux, ambitieux qui vont brusquer son devedéveloppe, qui pointe déjà à l'horizon. D'aucuns présent que l'épanouissement de l'Afrique viendra de l'Occident ou Orient. Or, un devedéveloppequi se racine dans le temps et dans l'espace commence toujours au niveau endogène.
Seul l'apport d'entrepreneuriat affranchira la majorité des jeunes du chômage et de la dépendance. L'oisiveté et la paresse ne feront que couler dans la profondeur, le désir de la grandeur qui hante esprit de la plupart.
Il est dans l'inadmissible de concevoir le développement sans l'entrepreneuriat. Ces deux domaines sont inextricablement inherinhé. Si aujourd'hui on parle des pays développés de la planète, c'est parce qu'il y a eu au sein de ces derniers des hommes et des femmes qui entreprennent.
Les gouvernements africains ont le devoir de soutenir des jeunes qui ont l'esprit d'entrepreneuriat et de créativité. La motivation et le soutien leur permettront d'aller plus loin dans leurs initiatives.
Le développement économique ne s'acquiert pas du jour au lendemain : c'est un domaine qui nécessite un esprit de persévérance dans l'entreprise et dans la creatcréat. Il inteeinter beaucoup plus dans la mesure ou les jeunes se levlèv pour combattre le chomchô et l'oisiveté.
Beaucoup de jeunes ont des difficultés d'entreprendre parce qu'ils sont dépourvus de moyens pecunipécun, sans soutien du gouvernement, ni des parents. Ils ont de très bons projets qui gisent belle lurette dans les tiroirs de leurs armoires.
Toutefois, pour entreprendre il ne suffit pas simplement d'avoir une somme monumentale comme le pensent la plupart des jeunes africains. Un seul pas suffira pour effectuer une longue trajectoire. La majorité à peur d'entreprendre puisqu'ils sont en manque de moyens nécessaires. Si l'on fait un et deux pas, le ciel aidera.
Peut compte fait, l'avenir de l'Afrique, du monde en général est entre les mains des jeunes entrepreneurs, des jeunes qui sont épris d'un de développement et de créativité. Le développement étant un domaine qui relève d'une économie stable, ne sera possible que si les jeunes s'impliquent avec détermination dans l'activité : seul le travail peut tout.