Au sommaire :

·         Retour sur l'assemblée syndicale sur le travail et l'environnement, par Vaia TuuhiaTrois jours pendant lesquels 396 délégués représentant 66 organisations et 56 pays, ont débattu, échangé et décidé d'engagements pour répondre aux lacunes du modèle économique actuel, source d'inégalités sociales et de dégradations environnementales. En toile de fond, la notion de transition juste et d'emplois verts.

·         L'organisation internationale du travail

Cette agence de l'ONU vise à promouvoir le travail décent pour tous. Elle est née en 1919, après la première Guerre Mondiale, du constat que des conditions de travail injustes, difficiles ou ne permettant pas de satisfaire les besoins de base mettent en danger la paix. D'où l'idée d'une justice sociale, affirmée et protégée au niveau international.

·         La promotion des emplois verts, le plein emploi, le travail décent pour tous et la protection sociale

Au sein de l'OIT, le concept de travail décent a fait l'objet d'un accord entre les trois parties prenantes : gouvernements, organisations de travailleurs et organisations d'employeurs. Il est fondé sur l'idée que le travail est source de dignité personnelle, de stabilité familiale, de paix dans la communauté et de démocratie, de croissance économique stimulant les possibilités d'emploi productif et de développement d'entreprises .

La transition vers une économie verte aura des implications fortes sur la nature même de la production. Selon le rapport du PNUE, l'investissement vert dans des secteurs clés de l'économie jouera un effet de levier sur la création d'emplois

Source : 4D