Le 19 janvier 2013, les Nations unies ont adopté le texte de la future Convention de Minamata.
Elle a pour objectif la prévention des émissions et des rejets de ce métal lourd ayant d'importants effets sur la santé et l'environnement, notamment en interdisant la production, l'importation et l'exportation de certains produits contenant du mercure (batteries, commutateurs et relais, les savons et les cosmétiques ou encore certaines lampes flurescentes).
La Convention encadre également l'utilisation du mercure pour l'exploitation de l'or à petite échelle, sans l'interdire.
Selon le PNUE, le nouveau traité procédera également " au contrôle des émissions et des rejets de mercure de diverses grandes installations industrielles allant des centrales d'énergies à charbon aux chaudières industrielles avec certain type de manipulation de fonderies de zinc et d'or par exemple ".
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