Par Andréanne Brazeau, agente de communication et logistique chez ENvironnement JEUnesse
Voilà la question qu’explorera le 6e colloque étudiant du CÉRIUM, le Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal, auquel participeront plusieurs intervenant(e)s du milieu politique le 9 novembre prochain.
L’invitée d’honneur, Madame Christine St-Pierre, députée et ancienne ministre des Relations internationales et de la Francophonie, ouvrira l’événement avec une brève allocution. Elle assurera également le mot de clôture.
Le colloque s’attardera sur trois thèmes qui occupent l’agenda des organisations internationales. Dès 9h45, il sera question du développement durable sous forme de table ronde avec Thomas Mulcair, professeur à l’Université de Montréal, Daniel Normandin, directeur de l’Institut EDDEC, et Catherine Gauthier, directrice générale d’ENvironnement JEUnesse.
De 13h à 15h, Isabelle Duplessis, professeure à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, Caroline Lemay, médiatrice au Ministère de la Justice du Québec, et Ryoa Chung, professeure de philosophie à l’Université de Montréal, exploreront le rôle des femmes au sein des organisations internationales encore une fois sous forme de table ronde.
Enfin, de 15h à 17h, les intervenant(e)s, Jean-Marc Coicaud, directeur des affaires internationales à l’université Rutgers, Jean-Philippe Thérien, chercheur au CÉRIUM, et Michèle Rioux, directrice du Centre d’études sur l’intégration et la mondialisation de l’UQAM, échangeront quant à la place de la gouvernance mondiale et la légitimité des organisations internationales. Un cocktail-réseautage suivra le colloque.
Le Centre d’études et de recherches internationales (CÉRIUM) a pour mission de favoriser le développement des connaissances sur les questions internationales. Cette mission s’accomplit à travers des activités de recherche, de formation et de rayonnement.
Crédit photo: CÉRIUM
L'initiative jeunesse de lutte contre les changements climatiques a pour objectif de sensibiliser les jeunes francophones aux changements climatiques. Elle permet également de faire connaître les actions et l’engagement de la jeunesse francophone pour lutter contre les changements climatiques sous la forme d’une série d’articles.
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