Pour faire face à des situations de catastrophes naturelles, " il faut qu'une communauté ait des mécanismes en place pour planifier et bien se préparer aux chocs ", selon une étude réalisée par l'organisation non-gouvernementale allemande Welthungerhilfe (Whh, Agro Action allemande) et présenté le 24 octobre 2013 à Port-au-Prince.
Conduite du 2 août au 20 octobre 2013, par le centre pour le développement rural (Sle, en allemand) de l'université Humboldt de Berlin et l'Université d'État d'Haïti, cette étude a été réalisée dans trois communautés : Port-au-Prince (Ouest), Jacmel (Sud-Est) et Ouanaminthe (Nord-Est).
Ce sont les cyclones, les inondations, les sécheresses, les tremblements de terre et le manque de services publics, qui sont les problèmes les plus importants, selon la perception des personnes interrogées dans le quartier de Marbial (département du Sud Est).
Les conséquences sont donc des pertes en vies humaines, en têtes de bétail, maisons détruites et jardins / plantations dévastés.
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