Et si le développement durable était plus palpable?
Il n'est point de doute que toutes les initiatives prises par tous, visent un seul but: un développement rationnel qui s'inscrit dans le temps.
Ce développement tant convoité est le fruit de plusieurs armes dont: des projets-terrains, des formations de diverses formes, des actions de plaidoyer, de justice sociale etc...
L'université Senghor, on ne le dira jamais assez est un cadre de formation et de renforcement de capacité reconnu dans le monde francophone, en Afrique en général et pourquoi pas dans le monde entier. La force de cette université se dénote non seulement sur le terrain par les actions de grandes envergure et de grande classe de certains de ses anciens formés mais, également par l'engouement que suscitent ses lancements d'opportunités de formation, quoique de plus en plus lourdes financièrement ces derniers temps .
Ces marques des anciens formés, on les notes lorsqu'il est question de s'intervenir dans une démarche globalisante qui privilégie le développement dans tout son sens.
Et c'est d'ailleurs, d'ici que naît la pertinence de cet article. Comment peut-on expliquer que cette université qui forme des acteurs parallèles dont leur unification fait ou fera le développement durable à quelques éléments près, tarde-t-elle à introniser le développement durable comme module de formation dans ses curricula?
En effet, cette formation ouvrira on l'espère désormais des portes sur d'autres horizons à cette école dont la renommée n'est plus à démontrer au contraire à privilégier. Car nous ne doutons pas que celui-ci peut à titre de tremplin développer le champ de vision des prochains spécialistes ou sinon schématiser de" nouvelles personnes" dont la mission sera de canaliser et orienter le flux énergétique, parfois inutile que dégagent nos états surtout en Afrique pour cadrer les efforts de développement.
Que Senghor offre de nouvelles opportunités, cela ne fera qu'étendre la champ de ses actions à travers les compétences en découleront.
07/10/24 à 12h30 GMT