" Nous sommes obligés de montrer que le Canada est le premier pays à avoir appliqué une régression en se retirant du Protocole de Kyoto. C'est la première fois qu'un État sort d'une convention internationale et c'est un exemple important. Il y a une grande différence entre mal appliquer les principes d'un traité international et s'en retirer pour de bon. C'est un acte fort qui pourra faire jurisprudence ", dit Michel Prieur, actif avec Centre international de Droit comparé de l'Environnement (CIDCE).
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Source: GaïaPresse
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