Cette dépendance peut et doit être réduite, puisque le pétrole est responsable de 60 % des émissions des gaz à effets de serre (GES) au Québec, et occupe la première place des sources de pollution atmosphérique. D'un autre côté, plusieurs initiatives de réduction de la dépendance au pétrole sont déjà en place depuis plusieurs années. " Les Québécois sont chanceux, affirme Philippe Bourke, directeur général du RNCREQ, nous disposons de grands potentiels d'économie et d'efficacité énergétique. Il faut les valoriser ".
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Source: GaïaPresse
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