C'est du moins l'avis de Jeanne Millet, chercheuse invitée et chargée de cours au Département de sciences biologiques de l'Université de Montréal. "On stimule par les tailles des réactions de croissance qui vont à l'encontre des buts de l'aménagement, signale la spécialiste de l'architecture des arbres dans un livre paru l'an dernier aux Éditions MultiMondes. On crée chez les arbres une dépendance couteuse aux tailles répétitives tout en leur donnant des formes inesthétiques et en provoquant leur vieillissement prématuré."
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Source: Université de Montréal
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