Les consommateurs se laissent souvent convaincre par les applicateurs de pesticides qui affirment que leurs produits sont sans danger, car ils sont homologués par l'Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) de Santé Canada. Or, il ne faut pas se laisser berner, souligne la biologiste Édith Smeesters, fondatrice de la Coalition québécoise pour les alternatives aux pesticides (CAP). La CAP a réussi à faire interdire une douzaine d'ingrédients actifs (comme le 2,4-d) d'herbicides, dont la vente au consommateur est désormais interdite par le Code de gestion des pesticides du Québec. (L'Ontario en a interdit une centaine en 2009.)
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Source: Maison saine
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