" Là où la crise financière mondiale a entraîné la perte de millions d'emplois, le transfert du poids de la dette privée vers les contribuables et des risques de régression en matière de droits de l'homme en raison des programmes d'austérité, une taxe sur les transactions financières (TTF) est un outil pragmatique pour fournir les moyens aux gouvernements de protéger et réaliser les droits de l'homme de leur peuple ", a déclaré la Rapporteuse spéciale sur l'extrême pauvreté et les droits de l'homme, Magdalena Sepulveda.
Selon un communiqué de presse du Haut commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH), on estime que cette taxe sur les transactions financières rapporterait entre 48 milliards et 250 milliards de dollars par an, permettant de compenser les coûts des crises économique, financière, énergétique, climatique et alimentaire qui perdurent.
Communiqué de l'ONU (925 hits)
09/08/24 à 08h48 GMT