Par Jessica Nadeau
Depuis quelques jours, les critiques pleuvent sur le texte final " Le futur que nous voulons ", adopté par les États membres des Nations Unies à Rio+20. De façon générale, la société civile se dit déçue par le manque d'engagement et d'avancées sérieuses. Mais, au-delà des critiques, tout n'est pas négatif. Les groupes écologistes comptent utiliser le peu de gains obtenus pour mettre encore plus de pression sur les gouvernements.
" Lorsque nous sommes sortis de Rio, en 1992, nous tenions sensiblement le même discours, se souvient Steven Guilbault d'Équiterre. Aussi, lorsque nous sommes sortis de Kyoto en 1997, nous étions déçus, car nous voulions des cibles de réduction de gaz à effet de serre de 20 %. Mais chaque fois, nous trouvons le moyen de transformer cela en symbole afin de mettre de la pression sur les gouvernements. C'est ce que nous ferons encore une fois. Nous avons des engagements qui sont minces, mais nous allons travailler avec cela pour aller plus loin ", promet-il.
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Source: GaïaPresse
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17/10/24 à 09h35 GMT