7, 2 milliards de Cfa environ. C’est l’enveloppe que la Banque mondiale a officiellement accordé pour la préservation des aires protégées de la République Démocratique du Congo (RDC), durant la période 2014-2018. L’annonce a été faite le 2 juin dernier à Goma par Eustache Ouayoro le directeur des opérations de cette institution financière dans les deux Congo, au cours de la réunion d’évaluation de la première phase de ce programme étalée sur la période de 2009 à 2014.
Par ce geste, la Banque mondiale réitère sa volonté de promouvoir les activités de conservation et de protection « soutenable » de la diversité biologique de quatre des sept parcs naturels disséminés dans le pays : Garamba, Virunga, Maïko et Kahuzi Biega. Avec en prime, la restauration des jardins botaniques qui font également partie du patrimoine floristique et naturel de la RDC.
Ce financement servira entres autres à la construction des maisons d’éco-gardes, la scolarisation des enfants pygmées et d’autres actions de développement pour les populations riveraines des parcs nationaux ciblés, a par ailleurs indiqué l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN).
En rappel, la première phase de ce financement était de 2,4 millions et 2,1 millions de dollars pour les parcs nationaux des Virunga et Garamba, respectivement.
17/10/24 à 09h35 GMT