L’eau est source de vie dit-on. Mais, elle peut aussi être source de mort. Principal constituant de l’organisme, l’eau est un véritable danger pour lui, si elle est polluée ou contaminée. En effet, selon une étude de l’Agence française de développement(AFD) réalisée en 2003, 30 millions de personnes, meurent par an à travers le monde de suite d’une contagion due à la pollution des eaux.
Des maladies liées à la consommation des eaux dites minérales mais parfois ou souvent impropres (c’est selon), les spécialistes citent couramment la dysenterie, la diarrhée, le choléra etc.
Et pourtant, le consommateur ne sait toujours pas qu’il consomme des eaux de mauvaise qualité qu’on retrouve sur le marché. Partout, à l’occasion des cérémonies publiques ou privées, les eaux en sachets sont distribuées à la pelle. Sans pour autant qu’on ne sache si ces eaux sont de bonne qualité.
Une activité commerciale aux enjeux de santé publique
En 1952, l’Organisation mondiale de santé (OMS) donnait cette définition de la santé publique : « la santé publique est la science et l’art de prévenir les maladies, de prolonger la vie et d’améliorer la santé et la vitalité mentale et physique des individus, par le moyen d’une action collective concertée visant à assainir le milieu, lutter contre les maladies, enseigner les règles d’hygiène personnelle, organiser des services médicaux et infirmiers en vue d’un diagnostic précoce et du traitement préventif des maladies et mettre en œuvres, des mesures sociales propres à assurer à chaque membre de la collectivité, un niveau de vie compatible avec le maintien de la santé ».
Cette définition est toujours d’actualité et couvre les aspects curatif, préventif, éducatif et social de même qu’elle inclut les efforts sociaux, politiques organisationnels qui sont destinés à améliorer la santé de groupes ou de populations entières.
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Source: lefaso.net
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17/10/24 à 09h35 GMT