Le congrès Smart Grids Paris 2014 se tiendra les 11, 12 et 13 juin prochains à l'Espace Grande Arche de la Défense. Une occasion pour les acteurs du secteur de discuter ensemble de l'avenir des réseaux intelligents et de leurs étendards en France, Linky et Gazpar, mais également de mettre en avant le nombre croissant d'investissements dans le secteur.
Un intérêt croissant pour les nouvelles technologies de l'énergie
En 2020, le marché des smart grids représentera 54 milliards d'euros dans le monde, alors même que la France devra avoir atteint les 23 % de consommation énergétique provenant d'énergies renouvelables fixés par la loi Grenelle 1. Rien de plus normal donc à ce que la capitale hexagonale organise un événement à la hauteur des espérances que font naître les smart grids dans la conscience environnementale collective. Preuve en est avec le nombre croissant d'investissements dans le secteur.
En 2013, les technologies intelligentes telles que les smart grids ont attiré pas moins de 34,6 milliards de dollars d'investissements. Une augmentation de presque 2 milliards de dollars en un an. Le marché français est, quant à lui, particulièrement attractif. Ne pas profiter de cette montée en puissance des smart grids dans le monde alors même que la France souffre d'une diminution importante du nombre d'investissements étrangers depuis plusieurs années relèverait du véritable non-sens. Un constat que Paris a parfaitement compris en organisant le Congrès SG Paris 2014 en juin prochain.
Linky et Gazpar, star du congrès Smart Grids Paris 2014
Le but du congrès : faire valoir la nécessité du développement des smart grids dans le monde, et plus particulièrement de leurs étendards français : Linky et Gazpar. Compteurs d'électricité et de gaz intelligents, ces modèles de smart grids made in France représentent une véritable révolution énergétique pour le pays. Leur principe est pourtant simple : ils connectent les réseaux électriques ou de gaz à des centres de données afin de permettre aux distributeurs d'organiser l'offre par rapport à la demande, et non plus l'inverse.
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