Mediaterre
   

CDD-15 : travailler ensemble en partenariat 2/2



  • Cette séance, modérée par le vice-président Alain Edouard Traore (Burkina Faso), a continué à entendre les déclarations offi­cielles des ministres. Le ZIMBABWE a souligné le principe des responsabilités communes mais différenciées.Le CAMBODGE a appelé à une mise en appli­cation pleine et immédiate du Plan stratégique de Bali, et l'AFRIQUE DU SUD a présenté les conclusions du Quatrième congrès mondial des femmes rurales. Le GHANA a suggéré d'accroître l'utilisation de la bioénergie, et a placé un accent sur la coopération africaine. La POLOGNE a parlé de la sécurité énergé­tique et a encouragé la diversification des sources d'énergie, des fournisseurs et des routes de transmission. Le BELARUS a mis en relief l'amélioration du rendement énergétique à travers l'économie d'énergie et l'augmentation du recours à des sources renouvelables. OMAN a mis l'accent sur le besoin de changer les modes de consommation et de passer du bois au gaz liquide. Le délégué des PHILIPPINES a encouragé la diversification des sources d'énergie, y compris l'utilisation des sources d'énergie propre autochtones, renouvelables et durables. Le BRESIL a mis en exergue le bon rendement des biocombustibles liquides. La BELGIQUE a suggéré la prévision d'une disposition pour l'évaluation de l'énergie au service du développement durable et d'un rôle plus proéminent pour ONU-Energie. Le CAMEROUN a parlé des difficultés vécues par l'Afrique dans le domaine des ressources technologiques et financières et de l'accès à l'énergie. L'ISLANDE a fait part de ses vues concernant les sources d'énergie renouvel­ables, en particulier, l'énergie géothermique. Le CAP VERT a apporté son appui aux propositions de l'UE concernant l'augmenta­tion de la part des énergies renouvelables et l'établissement d'objec­tifs volontaires.

    La TUNISIE a mis l'accent sur la diversification des sources d'énergie et sur l'établissement du meilleur équilibre possible entre les trois piliers du développement durable. Le SAINT SIEGE a mis en exergue la sécurité énergétique et a appelé à des programmes nationaux de sensibilisation pour le changement des modes de consommation actuels. L'ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA MIGRATION a avancé le chiffre de 50 millions de migrants environnementaux supplémentaires d'ici 2010, et la BANQUE MONDIALE a suggéré l'adoption d'une nouvelle approche des politiques publiques intégrant l'ensemble des parties prenantes. L'ORGANISATION MARITIME INTERNATIONALE a parlé du rôle joué par l'OMI dans la réduction des effets environ­nementaux du trafic maritime.

    [ CDD15 ]

    Source : Bulletin des Négociations de la Terre.

    http://www.iisd.ca/vol05/enb05253f.html
    Partagez
    Donnez votre avis

    Conception & Réalisation : CIRIDD - © 2002-2024 Médiaterre V4.0