M. Ban, qui s'exprimait dans le cadre de sa conférence de presse mensuelle à New York avant de s'envoler pour la capitale danoise, a évoqué une " semaine critique ". " C'est maintenant le moment d'agir " alors que " rarement dans l'histoire, un choix n'a été aussi clair. Nous pouvons aller de l'avant vers un avenir de croissance verte qui soit supportable ou nous pouvons continuer de descendre la pente menant à la ruine ".
Le Secrétaire général a reconnu que l'on pouvait ou bien " agir dès maintenant ou laisser à nos enfants et petits-enfants une dette qui ne pourra jamais être remboursée. " Selon lui, il n'est plus temps de tergiverser, de prendre des poses ou d'adresser des reproches : " Chaque pays doit apporter sa contribution pour conclure un accord à Copenhague ". Il a indiqué que son appel s'adressait plus particulièrement aux négociateurs pour qu'ils redoublent d'efforts cette semaine.
[cdp15-cccc]
Communiqué de l'ONU (1054 hits)