"Les systèmes des terres et de l'eau engendrent annuellement un décalage, de la valeur de 33 à 72 milliards de dollars, de biens et services libres, dont dépend l'économie mondiale pour son bon fonctionnement, selon le Corporate Eco Forum.
La plupart de ces biens sont considérés comme allant de soi et ne sont pas pris en compte dans les transactions commerciales. Par conséquent, les actifs naturels sont dangereusement surexploités, gérés en dépit du bon sens et décimés, pour faire place peu à peu à une énorme crise mondiale, dont il est à craindre qu'elle touchera virtuellement tous les mécanismes régulateurs de la biosphère.
Dans un article publié chez Forbes, P.J. Simmons explique que certaines sociétés tournées vers l'avenir insèrent dorénavant le défi sur la durabilité de la sauvegarde de l'infrastructure naturelle au sein de leur activité principale. Le succès de cette initiative repose largement sur un mode novateur d''évaluation de la valeur de la nature'.
Le Mécanisme Mondial (MM) est un partenaire actif du Consortium OSLO (Offering Sustainable Land-Use Options - Offre d'options d'exploitation durable des terres), qui compte, au titre de ses membres clés, l'Institut de l'Environnement de Stockholm (SEI), l'Université des Nations unies (UNU) et le Centre commun de recherche (JRC) de la Commission européenne. Le partenariat OSLO a mis au point une méthodologie d'évaluation novatrice visant à démontrer que le rendement financier et socioéconomique de l'investissement peut être généré dans le cadre d'une exploitation responsable des terres."
Source: Cet nouvelle est parue sur le site web du Secrétariat du Mécanisme Mondial (MM)
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