La recherche de moyens d’utiliser et de disposer des ressources de manière à réduire les dommages à l’environnement est au centre des débats de la première Assemblée des Nations Unies pour l'environnement (UNEA), estime Naysan Sahba, Directeur de l'information et de la communication du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), qui qualifie cette réunion d'«historique».
L’UNEA ouvert ses travaux, lundi, à Nairobi, au Kenya, en présence de plus de 1 200 participants de plus de 160 États, dont des délégués gouvernementaux, des intervenants, des scientifiques, des chefs d’entreprise et des représentants de la société civile.
L'Assemblée est le résultat de l’appel lancé par les dirigeants mondiaux lors de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable autrement connu comme Rio 20, qui s’est tenue au Brésil en juin 2012, pour renforcer et améliorer le PNUE comme principale autorité mondiale de l’environnement.
Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon' est attendu pour assister à la clôture de la réunion le vendredi.