Les petits États insulaires en développement se sont montrés meilleurs dans la lutte pour inverser les menaces d'extinction des espèces de vertébrées endémiques que certains des pays les plus riches du monde. Ceci, selon une étude récente menée par des scientifiques experts en conservation du Centre d'Ecologie Fonctionnelle et Evolutive (CEFE), l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), et BirdLife International.
Cinq petits pays insulaires en développement (PEID) ont été les seuls pays à avoir réalisé des améliorations nettes dans l'état de conservation des vertébrés. Il s’agit des Iles Cook, Fidji, Maurice, Seychelles et Tonga. Ces PIED ont été en mesure d'inverser la crise d'extinction dans leur pays, montre comment des mesures de conservation efficaces comme l'éradication des espèces envahissantes, la biosécurité, la gestion des aires protégées et la restauration de l'écosystème.
Aux Seychelles, les oiseaux endémiques en danger ont été les grands gagnants. Les ONG locales environnementales telles que Nature Seychelles, partenaire de BirdLife International, ont contribué à épargner des oiseaux comme le merle de pie et la fauvette des Seychelles de la menace l'extinction. Ceci a été le résultat de nombreuses années de recherche intensive du le suivi et de la réhabilitation de leur habitat.
Pour en savoir plus : http://www.seychellesnewsagency.com/articles/1956/Seychelles among five small island nations declared world leaders in conserving threatened species
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