La violence urbaine compromet le développement des enfants et leur capacité à jouir de leurs droits fondamentaux, a déclaré ce mercredi la Représentant spéciale du Secrétaire général sur la violence contre les enfants, lors de la présentation du Rapport «La protection des enfants affectés par la violence armée dans la communauté”, en marge de la Conférence Habitat III qui se déroule actuellement à Quito, en Équateur.
Selon Marta Santos Pais le rapport souligne l'effet néfaste de la violence urbain où li y a une disponibilité très élargie d'armes et de groupes de crime organisés, qui empechent que les enfants puissent participer à l'école, jouir avec leurs amis des activités culturelles ou sportives, et de s'épanouir dans le meilleur contexte possible.
Le rapport identifie des exemples concrets de plusieurs initiatives qui ont aidé à prévenir des situations de violence qui ont promu l'inclusion sociale et qui ont assuré la diminution de la situation de violence ainsi que des enfances gaies et pleine d'espoir. Ceux-ci ont fait l’ojet de discussions lors des tables rondes suivants le lancement de la publication et visant la mise à terme à toutes les formes de violence contre les enfants en milieu urbain.
L’événement visait notamment à renforcer le rôle des maires dans la construction de villes sécuritaires, libres de violences, inclusives et adaptées aux enfants afin d'appuyer la mise en œuvre du nouvel agenda urbain et de l'Agenda pour le développement à l'horizon 2030.