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Le charme du climat terre-neuvien


Le monde entier connaît la dureté du climat terre-neuvien. On ne compte plus les histoires de naufrages survenus à la suite d'une brume soudaine, d'un brouillard épais ou d'une violente tempête sur les Grands-Bancs. Mais on oublie parfois qu'à terre, les habitants doivent supporter au quotidien les humeurs de la météo.

De la pluie, du vent, de la pluie, du brouillard et de la pluie, en passant par le blizzard, la pluie et la brume, difficile pour le soleil de se frayer un chemin. Le temps est gris, maussade... déprimant! Les jours où le soleil nous fait l'honneur d'une visite, c'est comme si la ville renaissait. Les gens sortent et envahissent les terrasses, les parcs où autres sentiers côtiers. Tout le monde profite de ce bref instant de répit car tous savent que cela ne va pas durer.

Les statistiques le prouvent d'ailleurs: Saint-Jean se bat avec Gander et Prince Rupert (CB) pour être la ville d'importance du Canada avec le "ciel le plus nuageux", la "pression moyenne la plus faible" et le "plus grand nombre de jours avec précipitations". Sans surprise, la capitale terre-neuvienne décroche le tire dans les catégories "vent moyen le plus fort" et "plus grand nombre de jours avec brouillard" (données Environnement Canada).

Mais pourquoi autant de précipitations? Comment explique-t-on cette omniprésence du brouillard? Les réponses sont accessibles en cliquant sur le lien ci-dessous.

Un billet de Sylvain Luneau, pour le Gaboteur.

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